Partenariat entre la Résidence La Tourelle d'Argent et L'opticien qui bouge
Dans le cadre des actions de prévention en santé, menées par la Résidence La Tourelle d’Argent du groupe Domusvi, sise à Trémuson en Côtes d'Armor, nous souhaitons faciliter et améliorer l’accès à la santé visuelle de nos résidents.
A cet effet, la résidence La Tourelle d'Argent a noué un partenariat avec les opticiens mobiles afin de proposer des actions de dépistage visuel régulières.
L'opticien-lunetier qui intervient à la Résidence du groupe Domusvi est un professionnel paramédical dont le métier est réglementé par le code de la santé publique.
À partir de l’ordonnance d’un médecin ophtalmologiste, ordonnance obligatoire depuis le 1er septembre 2015 quel que soit votre âge, l’opticien-lunetier est le seul professionnel autorisé à délivrer des verres correcteurs, des lunettes de vue et des lentilles de contact.
L’opticien est un scientifique qui maîtrise les aspects techniques et scientifiques de l’optique.
L’optique est la partie de la physique qui traite des caractéristiques de la lumière et de la vision :
- La lumière déclenche le phénomène de vision,
- Les systèmes optiques modifient la trajectoire de la lumière pour agir sur la vision.
La mission de l’opticien est de conseiller, adapter et contrôler tout équipement d’optique destiné à compenser des troubles de la vision tels que la myopie, hypermétropie, astigmatisme, presbytie.
Réaliser un dépistage ou vérifier des acuités visuelles sur la base d’une ordonnance établie par un ophtalmologiste fait partie du champ de compétence de l’opticien.
Conformément au décret d’octobre 2016, sauf avis contraire de l’ophtalmologiste, il peut adapter la correction des lunettes dans un délai de trois ans suivant la prescription initiale. Ce nouvel équipement ne peut être réalisé que dans le cadre d’un renouvellement et pour un type de compensation identique. L’opticien doit en informer le médecin.
Chacun est responsable de sa santé visuelle. C’est par une démarche active, en consultant régulièrement l’ophtalmologiste, que le capital « vue » peut être préservé.
